mouvement américain

Aux USA, le mouvement des fireflies, ou lucioles, est né dans les années 1993 à Los Angeles. Peu après le début de l’épidémie de cordyceps et l’instauration de la loi martiale dans certaines zones de quarantaine, des groupes de survivants ont appelé au retour des branches gouvernementales afin de mettre un terme au règne de l’armée dans leurs zones. Leur soulèvement provoquera manifestations, émeutes et brèches de sécurité, poussant l'armée à répondre avec violence.

Très vite, dès les années 1993 à 2010s, le mouvement des fireflies prend de l'ampleur et touche d'avantage de villes aux Etats-Unis, comme Los Angeles, Pittsburgh, Seattle, Denver, Salt Lake City et Santa Barbara. Leurs promesses séduisent : un régime démocratique, plus de libertés, la recherche d'une cure, un futur brillant. Mais leur succès sera aussi leur perte : bientôt c'est contre eux que les civils se tournent après avoir fait tomber l'armée, de peur qu'ils n'installent un régime totalitaire à leur tour. Forcés à fuir, ou exécutés par ceux qu'ils libèrent pourtant de l'armée, le mouvement des fireflies s'éteindra en 2016.

❘ Philosophie et actions

Le mouvement des fireflies s'oppose à la présence militaire et ses abus de pouvoir. Ils souhaitent ré-instaurer les branches gouvernementales d'autrefois, et redonner le pouvoir aux civils. Leur principal but est également de trouver un remède au cordyceps et créer un vaccin, qu'importe le prix.

C'est parce qu'ils sont prêts à tout que leurs actions tendent parfois vers le terrorisme. Dans les zones de quarantaine, ce sont eux qui poussaient les civils à se rebeller contre l'armée, destabilisant l'ordre établi et n'hésitant pas à entrer en conflit direct avec les autorités, quitte à provoquer la perte de nombreux civils.

Ils attaquaient également les checkpoints de l'armée et leurs convois à l'aide de bombes, prenant des prisonniers voués à être torturés contre des informations sur l'armée. En parallèle, leurs recherches de vaccin les poussèrent à non seulement capturer des infectés, mais aussi à infecter des prisonniers afin d'étudier les effets de l'infection dès les premiers instants.

❘ Réputation

Du mouvement américain des fireflies, finalement, rien de réellement bon ne naitra. Pas de cure, pas de vaccin, des zones de quarantaines laissées à l'abandon, de nombreuses pertes des deux côtés. Parce qu'ils ne réussiront pas à créer de cure, on se souviendra d'avantage du mauvais que du bon.

Au Canada, les fireflies américains sont peu connus et lorsqu'ils le sont, sont mal vus ou incompris. Leur réputation a été forgée sur des "on dit" et des rumeurs. Et si certaines de leurs idées continuent de séduire quelques personnes, la fin tragique de leur mouvement et l'absence de résultat suffit à faire taire toute envie d'insurrection.

rennaissance à vancouver

Une poignée de fireflies anciennement basés à Seattle fuient vers le Canada en 2017. En s'installant dans la zone de quarantaine du District 11, ils se plient au régime totalitaire mis en place parce qu'on leur permet de continuer leur recherche de cure : un petit sacrifice, à leurs yeux, après avoir été chassés de Seattle. Personne ne révèlera son ancienne allégeance aux fireflies, dont la réputation terroriste est arrivée jusqu'aux oreilles des canadiens, de peur d'être de nouveau chassés. Ou pire. Le mouvement s'endort, s'oublie.

En 2028, il n'en faut pas beaucoup pour le faire renaître de ses cendres. Lorsque les autorités décident de fermer les laboratoires et d'arrêter de soutenir les recherches de cure, les fireflies se réveillent. Jusqu'ici tolérant le régime du District 11 pour continuer leurs recherches, ils n'ont plus de raison de s'y plier et leur train de vie leur apparaît soudainement comme injuste.

Ce sont les anciens fireflies originels, âgés aujourd'hui de minimum 42 ans, qui introduisent le mouvement au District 11. Les premiers membres seront des scientifiques mécontents, obligés de se réinventer après la perte de leur profession, toujours motivés par la recherche d'une cure. Puis de fil en aiguille leurs proches les suivront. En 2030 ils installent leur quartier général en dehors des murs du district. C'est au Vancouver General Hospital qu'ils essaieront de continuer leurs recherches et de s'organiser, après avoir nettoyé et sécurisé le couloir de métro entre Yaletown-Roundhouse et Olympic Village.

❘ Philosophie et actions

Mécontents face à l'arrêt forcé des recherches scientifiques, les fireflies d'aujourd'hui cherchent avant tout à les poursuivre. Leurs membres croient dur comme fer à la création d'une cure et refusent catégoriquement d'abandonner tout espoir, qu'importe le prix. Si jusqu'ici ils acceptaient le mode de vie strict du district 11 parce qu'on leur permettait de continuer leurs expériences, aujourd'hui ils n'ont plus de raison de se plier aux nombreuses règles de la FEDRA.

En refusant d'arrêter leurs recherches, en installant un quartier général en dehors des murs du district et en créant un passage secret via les couloirs du métro de Vancouver, les fireflies sont des hors-la-loi. Si l'existence de leur passage et de leur quartier général reste secrète, celle de leur groupe ne l'est plus depuis 2030.

Des flyers pro-fireflies ont commencé à circuler en 2029 en toute discrétion, surtout entre anciens membres, scientifiques et proches. On cherchait à l'époque à inciter à les rejoindre, promettant un district plus libre, plus juste et la recherche d'une cure comme priorité.

En 2030, un flyer tombe entre les mains d'un soldat qui s'empresse de le faire remonter à sa direction. Le même jour, Annabeth Ford donnera un discours rappelant les faits (ou rumeurs) sur les fireflies américains, et interdisant tout comportement anti-FEDRA. Ce sera le début des hostilités entre fireflies et FEDRA.

La majorité des conflits armés prennent place à l'extérieur lorsque des fireflies croisent des soldats et inversement. Fusillades, pièges, convois attaqués pour utiliser leurs ressources dans leurs recherches, les fireflies profitent d'être en extérieur pour ne pas se soucier des lois du district et des dommages collatéraux. Face à ces attaques répétées, trouver les fireflies et intercepter leurs membres ou communications deviendront la priorité des peacekeepers à l'intérieur du district.

Les fireflies, eux, continueront leur propagande à l'intérieur du district à l'aide de flyers, affiches, graffitis, radio pirate sans (trop) troubler l'ordre et la sécurité intérieure du district. Dehors, ils interceptent et attaquent les militaires qu'ils croisent, et continuent leurs recherches à l'hôpital.

❘ Réputation

Le public est divisé au sein du District 11. Une partie de sa population ne souhaite pas changer sa façon de vivre et ne croit pas (ou plus) en la découverte d'une cure miraculeuse. Ils se plaisent dans la routine sécurisée du district et ne veulent pas changer une machine si bien huilée, dont l'efficacité est prouvée. Ces personnes voient les fireflies comme une menace et une nuisance.

Puis il y a celleux qui soutiennent les fireflies, en étant membres ou en adhérant à leurs idées silencieusement, et qui voudraient établir un nouvel ordre. Las de l'occupation militaire, frustrés de cette vie si encadrée, mécontents de voir les autorités abandonner les recherches d'un vaccin, les promesses des fireflies les ont séduits.

Les autorités, quant à elles, entretiennent l'image de menace via une propagande bien pensée, et poussent à la délation. Tout est fait pour dépeindre les fireflies comme un danger, des terroristes à expulser.

❘ Informations sur les fireflies originels

Ceux qu'on appelle les fireflies originels sont le petit groupe de survivants autrefois liés au mouvement américain, qui se sont installés dans le District 11 en 2017. Cherchant d'abord à se faire oublier, il a été convenu de ne jamais mentionner leur ancienne affiliation et de faire profil bas, ce qu'ils ont fait jusqu'à ce que le District 11 ne mette un terme aux recherches de cure. S'étant déplacés de Seattle à Vancouver afin de les continuer, c'est naturellement qu'ils ont refait vivre le mouvement en 2028 : d'abord entre anciens fireflies originels, puis ouvrant peu à peu leur organisation aux autres. Tous n'ont pas voté la (nouvelle) création du mouvement, certains fireflies originels se retirant de la course à la cure après avoir refait leur vie ou abandonné tout espoir.

S'ils ont quitté Seattle, c'est aussi parce que la zone de quarantaine dont ils faisaient partie, et qu'ils avaient libéré de la FEDRA en 2015, s'est retournée contre eux de peur qu'ils n'installent de nouveau un régime totalitaire. Le soulèvement des habitants contre les fireflies en 2016 causera la chute de ce dernier, signant non seulement la fin de la zone de quarantaine mais aussi celle du mouvement local, en parallèle de la dissolution des fireflies à l'échelle nationale.

Après avoir essuyé de nombreuses pertes, les fireflies ont pris le chemin du Canada dans l'espoir de croiser un groupe aux idées similaires, ou au moins une zone de quarantaine où les recherches de cures tenaient encore bon. Après être passés par Marysville, Arlington, Conway, Burlington, Blanchard, Chuckanut, Bellingham, Ferndale, Abbotsford, Surrey et Burnaby, c'est à Vancouver qu'ils ont élu domicile, y trouvant à la fois un district sécurisé et la possibilité de continuer leurs recherches.

En chemin, leur groupe sera divisé en deux par les pertes engendrées. Au total, on comptera une quinzaine de membres à l'arrivée au District 11, dont une poignées d'adolescents (enfants des membres) : aucun parent n'aura souhaité faire le voyage avec des enfants de moins de 15 ans, ni femme enceinte, ayant conscience du danger qui les attendait (et qui aura tué bon nombres d'entre eux).

De ce fait, les fireflies originels ont aujourd'hui au minimum 42 ans et leurs enfants (adolescents au moment de leur arrivée au district 11) au minimum 30 ans.

Lorsque le District 11 annonce la fin des recherches en 2028, une poignée de fireflies originels décident de quitter le district pour Forest Hills quelques mois plus tard en 2029. Afin de ne pas attirer l'attention de la FEDRA, les départs se feront graduellement par groupe de 2 ou 3. Ils seront systématiquement faits lors de missions extérieures, durant lesquelles les fireflies se "perdront" avant d'arriver à Forest Hills et de faire le choix d'y rester.

De cette manière, leur absence au District 11 est expliquée, et leurs arrières sont assurées en cas de contact entre la FEDRA et Forest Hills. Là-bas, ils feront de nouveau profil bas et ne mentionneront pas leur passé de fireflies. C'est aujourd'hui Winona Tremblay qui est à la tête du groupe local, étant la première à avoir été contactée par Sofia Wu pour y faire renaître le mouvement et s'allier à celui du District 11.

alliance et expansion

Lorsqu'en 2028, les autorités du District 11 annoncent mettre fin aux recherches de cure, quelques anciens fireflies originels, âgés aujourd'hui entre 42 et 60 ans, prennent la fuite. Le groupe s'éclate et une partie décide de rejoindre la communauté de Forest Hills en 2029 dans l'espoir de pouvoir y continuer leurs recherches dans un cadre plus libre. Là-bas, ils conservent le secret de leurs origines et continuent leurs recherches sans faire de vague : le cadre de Forest Hills leur plaît et le mouvement ne renaît pas tout de suite. Les anciens fireflies font profil bas. Sans contact de leurs proches au District 11, ils vivront plusieurs années sans savoir ce qu'il s'y passe.

En 2032, une partie de Forest Hills s'envole en fumée suite à une brèche de sécurité importante. Les laboratoires sont perdus, et leurs avancées scientifiques aussi. Par priorité, on ne cherche pas à recréer des laboratoires et à continuer les recherches. Déception. Frustration. Le moral est au plus bas.

Fin 2032, c'est l'alliance signée avec le District 11 qui donnera réellement naissance au mouvement de Forest Hills. Jusqu'ici passifs, lorsqu'ils voient le traitement qu'on réserve aux fireflies, l'étincelle de la révolte se rallume. Ils décident alors de se lier au mouvement du District 11 et de recruter, chez eux, de nouveaux membres afin de leur venir en aide et prendre le contrôle du district.

❘ Philosophie et actions

Le mouvement de Forest Hills est bien plus nouveau, et petit, que celui du District 11. Pour autant, il partage ses ambitions scientifiques : suite à la destruction et la perte de leurs laboratoires, les fireflies sont les seuls à leur permettre de continuer leurs expériences puisque le district 11 a décrété la fin des leurs.

Leurs actions résident principalement dans le soutien : plus libres de leurs mouvements, ils apportent surtout ressources et équipement. Leurs scientifiques peuvent plus facilement rejoindre le quartier général sans avoir à se cacher d'être sortis de Forest Hills.

En majorité, ils ne prennent pas part à la libération du district 11 et au soulèvement contre la FEDRA : il ne s'agit pas de leur groupe, et se battre pour la démocratie semble moins important que se battre pour le développement d'un vaccin. Mais une poignée de fireflies locaux se joignent aux conflits armés à l'extérieur des murs, conscients du traitement que réserve le district 11 aux fireflies qu'ils croisent et souhaitant aider leurs frères d'arme.

❘ Réputation

Le mouvement de Forest Hills n'a pas de réputation : personne, mis à part ses membres, ne sait qu'ils existent.

le quartier général

Le quartier général des fireflies se trouve au-delà des murs du District 11 dans l’aile ouest du Vancouver General Hospital. Il y a été établi en 2030 après un an de nettoyage et travaux par les fireflies du District 11, suite à ceux entrepris sur la ligne de métro reliant Yaletown-Houndhouse et Olympic Village en secret. L’accès à la ligne de métro se fait à l’arrière d’une boutique de vêtements, qui fait aussi office de logement, sur Pacific Boulevard. Un tunnel a été construit dans son sous-sol et donne au-dessus de la ligne, qu’il suffit de suivre jusqu’à Olympic Village. Là, il faudra en sortir pour rejoindre le Vancouver General Hospital en environ 20 minutes de marche.

Les autres ailes de l’hôpital ne sont pas accessibles car pas encore nettoyées de tout infectés, responsabilité de la branche action.

organisation

Le mouvement aujourd’hui est composé d’une cheffe générale, Sofia Wu, soutenue par son bras droit, et d’une cheffe locale à Forest Hills, Winona Tremblay, soutenue par son bras droit. Si les deux femmes sont à la tête du mouvement, c’est Sofia Wu qui en est la dernière décisionnaire. Winona n’a de jurisdiction que sur les terres de Forest Hills ou sur les membres du mouvement originaires de Forest Hills. Elle répond, comme tout le monde, à Sofia.

❘ Branche Alpha : Les scientifiques et médecins

Ce sont les personnes au coeur du mouvement, qui continuent de rechercher une cure contre le cordyceps. Si aucun remède n’a été trouvé pour le moment, ils n’abandonnent pas : en plus de vouloir développer un vaccin, ils étudient également les effets de l’infection, sa propagation, et cherchent à lutter contre ses symptômes. Ils essaient aussi de développer de nouveaux moyens de s’en protéger, certains se concentrent sur une façon de stopper l’infection, d’autres sur le développement d’armes ou de défense contre les infectés. Parmi les scientifiques il y a des médecins qui travaillent avec eux et traitent aussi les blessés rentrant de mission lorsqu'il le faut. Pour le moment les expériences sur sujets humains ne sont pas encore conduites et sont sujettes à débats et conflits (entre pro et anti).

❘ Branche Beta : Les forces armées et d'action

Ce sont les personnes qui luttent contre la FEDRA, les infectés, et tout autre survivant hostile afin de protéger leurs membres, convois, équipements et quartier général. Il s’agit du corps armé des fireflies, qui attaque autant qu’il défend, et qu'on appelle dans le mouvement les légionnaires.

❘ Branche Gamma : Les ressources, passeurs et raiders

Ce sont les personnes qui sont en charge de trouver les ressources et équipements dont ont besoin les fireflies pour fonctionner : armes, munitions, électricité, équipements médical et scientifique, provisions, tout est bon à prendre. Accompagnés par la branche action, ils attaquent les convois de la FEDRA ou d’autres survivants et pillent ce qu’ils trouvent. Ce sont aussi eux qui sont en charge de ramener des infectés (parfois en vie) pour être étudiés par les scientifiques.

❘ Branche Delta : Le recrutement et les informateurs

Ce sont les personnes qui sont en charge de recruter de nouveaux membres, et de faire adhérer les civils à leur idéologie, notamment et surtout au District 11. Ils s’occupent de communiquer leurs avancées scientifiques et de prêcher la parole des fireflies via par exemple le partage de flyers, les graffitis, les posters. Ils incitent le plus grand nombre à rejoindre leurs idées anti-FEDRA. Pour ce faire, ils possèdent une radio pirate, partagent des flyers, collent des posters, peignent des graffitis dans le District 11 et au-delà.

Ce sont également eux qui servent d'informants : ils écoutent autant qu'ils prêchent, notamment les fireflies ayant des postes haut placés ou simplement bien placés pour observer la FEDRA au plus proche.

les rejoindre

Rejoindre les fireflies est compliqué, et le mouvement compte bien ne pas simplifier son processus de recrutement. Seules les personnes majeures sont acceptées dans le mouvement, aucun enfant ou adolescent ne peut le rejoindre. Il faut y avoir été invité par un membre de la branche de recrutement : c’est cette dernière qui choisi les nouveaux membres, après les avoir surveillé et étudié pendant de longs mois. Parce qu’une personne est vocale sur son envie de les rejoindre, ou cherche à devenir membre, cela ne veut pas dire qu’iel le sera. Au contraire, les fireflies préfèrent une personne discrète qu’un admirateur ne sachant pas tenir sa langue. Exception faites pour les proches d’un membre de longue date (au moins deux ans) que ce membre évoquerait à la branche de recrutement. Si la décision finale leur revient, il est possible de leur donner des noms.

Une fois qu’il a été décidé de vous contacter, un membre de la branche de recrutement prendra contact avec vous à visage couvert. Si vous acceptez de les rejoindre, vous deviendrez un membre temporaire pendant un mois le temps de faire vos preuves après quoi il vous sera donné un pendentif avec le logo du mouvement, votre nom, et votre numéro d’adhérant. S’il est décidé que vous n’avez pas fait vos preuves, ou que vous êtes sur le point de trahir le mouvement, l’adhésion vous sera refusée et vous serez exécutés : les fireflies ne prennent aucun risque, mais il est rare qu’une personne recrutée ne fasse pas ses preuves. Ce n'est qu'après les avoir faites que vous sera dévoilé l'emplacement du quartier général et qu'on vous y donnera accès.

les quitter

Vous pouvez quitter les fireflies lorsque vous le souhaitez, mais vous serez considérés comme un traitre et il vous sera impossible d’y retourner. Tout départ est définitif. Seules les personnes de confiance sont autorisées à quitter le mouvement : si vous êtes soupçonnés d’être sur le point de trahir les fireflies, vous serez autorisés à partir en apparence mais n’atteindrez jamais le pas de votre porte.